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Omara Portuondo "Ultimo Beso" feat. Mayra Andrade & Ibeyi
Découverte par le grand public à la fin des années 1990 grâce au Buena Vista Social Club, Omara Portuondo s’illustrait déjà comme l’une des plus importantes figures musicales de Cuba. Après plus de 70 ans d’une carrière ininterrompue, l’heure est à la tournée d’adieu, pour un « ultimo beso ».
Un dernier baiser. L’heure est venue, pour Omara Portuondo, de rendre hommage à ses fans à travers une ultime tournée mondiale, qu’elle effectue avec le pianiste Roberto Fonseca à la direction musicale et en compagnie de nombreux invités, de vieux compagnons de route comme de plus jeunes rencontres. Pour son étape parisienne, elle sera entourée de la sirène capverdienne Mayra Andrade (qui a publié le formidable Manga il y a quelques mois) et des sœurs franco-cubaines d’Ibeyi, héritières directes du Buena Vista Social Club, pour entonner quelques classiques (« Besame Mucho », « Veinte Años ») et retracer sa carrière de presque 75 ans : des débuts dans les cabarets de La Havane jusqu’aux belles heures sous les feux des projecteurs du Buena Vista Social Club. Car c’est bien grâce à ce disque du label World Circuit et au documentaire du cinéaste Wim Wenders, en 1999, que le nom d’Omara a fait le tour du globe, dépassant ainsi la sphère des amateurs de musiques cubaines. À l’époque, contrairement à Ibrahim Ferrer et Rubén González, qui étaient déjà paisiblement retirés de la scène musicale, Omara parcourait toujours les scènes de Cuba et d’ailleurs. Un amour inconsidéré qu’elle offre à son public depuis l’âge de 15 ans, avec la même ferveur.
Un dernier baiser. L’heure est venue, pour Omara Portuondo, de rendre hommage à ses fans à travers une ultime tournée mondiale, qu’elle effectue avec le pianiste Roberto Fonseca à la direction musicale et en compagnie de nombreux invités, de vieux compagnons de route comme de plus jeunes rencontres. Pour son étape parisienne, elle sera entourée de la sirène capverdienne Mayra Andrade (qui a publié le formidable Manga il y a quelques mois) et des sœurs franco-cubaines d’Ibeyi, héritières directes du Buena Vista Social Club, pour entonner quelques classiques (« Besame Mucho », « Veinte Años ») et retracer sa carrière de presque 75 ans : des débuts dans les cabarets de La Havane jusqu’aux belles heures sous les feux des projecteurs du Buena Vista Social Club. Car c’est bien grâce à ce disque du label World Circuit et au documentaire du cinéaste Wim Wenders, en 1999, que le nom d’Omara a fait le tour du globe, dépassant ainsi la sphère des amateurs de musiques cubaines. À l’époque, contrairement à Ibrahim Ferrer et Rubén González, qui étaient déjà paisiblement retirés de la scène musicale, Omara parcourait toujours les scènes de Cuba et d’ailleurs. Un amour inconsidéré qu’elle offre à son public depuis l’âge de 15 ans, avec la même ferveur.