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Dhafer Youssef
1re partie : Yazz Ahmed
Entre la grammaire musicale de sa Tunisie natale et celle du jazz le plus moderne et le plus aiguisé, le chanteur virtuose et joueur de oud Dhafer Youssef développe depuis plus de dix ans une identité stylistique inimitable et passionnante.
Le vocaliste et oudiste tunisien Dhafer Youssef a toujours su s’entourer des meilleurs instrumentistes. Après avoir eu comme sidemen Mark Guiliana, Tigran Hamasyan, Nils Petter Molvær, Aaron Parks et nombre d’autres solistes inspirés, le voici entouré d’une nouvelle et rutilante équipe pour présenter le répertoire de son prochain album, Sound of Mirrors, dont la sortie est prévue pour cet automne. On compte ainsi à ses côtés le percussionniste franco-indien Stéphane Édouard, le très méditatif guitariste norvégien Eivind Aarset (l’un des plus grands sculpteurs de paysages sonores que l’Europe possède) et le clarinettiste turc Hüsnü Şenlendirici. Le gratin des musiciens des quatre coins du monde n’est certainement pas de trop pour Dhafer Youssef, connu pour l’éminente virtuosité de sa voix qui atteint des sommets d’émotion - et d’aigus - lors d’envolées mélodiques toujours aussi poignantes de concert en concert. Immanquable, évidemment.
Première partie : YAZZ AHMED
Née à Bahreïn, cette jeune trompettiste britannique a bossé avec Lee Scratch Perry, Radiohead, Shabaka Hutchings ou encore These New Puritans. Mosaïque de textures arabes, pop ou électro, son jazz flirte avec la transe méditative.
Son dernier album en date, elle l’a baptisé La Saboteuse - le surnom qu’elle donne à son démon intérieur. Une manière aussi d’affirmer qu’elle n’est pas là pour suivre les règles. Non, la trompettiste britannique préfère dynamiter les frontières en douceur sur les traces du Blue Camel de Rabih Abou-Khalil et Kenny Wheeler, l’album qui a changé sa vie - ex-æquo avec sa participation au King of Limbs de Radiohead. Le jazz à la sauce Yazz Ahmed n’a rien de traditionnel, de figé ou de cliché. Il se fait tour à tour psychédélique, oriental, atmosphérique, cosmopolite, hypnotique ou électronique. Mouvants comme du sable, ses morceaux sonneraient comme du Jaga Jazzist… s’ils avaient vu le jour au Moyen-Orient. Une musique qui se danse autant avec les pieds qu’avec les neurones.
Le vocaliste et oudiste tunisien Dhafer Youssef a toujours su s’entourer des meilleurs instrumentistes. Après avoir eu comme sidemen Mark Guiliana, Tigran Hamasyan, Nils Petter Molvær, Aaron Parks et nombre d’autres solistes inspirés, le voici entouré d’une nouvelle et rutilante équipe pour présenter le répertoire de son prochain album, Sound of Mirrors, dont la sortie est prévue pour cet automne. On compte ainsi à ses côtés le percussionniste franco-indien Stéphane Édouard, le très méditatif guitariste norvégien Eivind Aarset (l’un des plus grands sculpteurs de paysages sonores que l’Europe possède) et le clarinettiste turc Hüsnü Şenlendirici. Le gratin des musiciens des quatre coins du monde n’est certainement pas de trop pour Dhafer Youssef, connu pour l’éminente virtuosité de sa voix qui atteint des sommets d’émotion - et d’aigus - lors d’envolées mélodiques toujours aussi poignantes de concert en concert. Immanquable, évidemment.
Première partie : YAZZ AHMED
Née à Bahreïn, cette jeune trompettiste britannique a bossé avec Lee Scratch Perry, Radiohead, Shabaka Hutchings ou encore These New Puritans. Mosaïque de textures arabes, pop ou électro, son jazz flirte avec la transe méditative.
Son dernier album en date, elle l’a baptisé La Saboteuse - le surnom qu’elle donne à son démon intérieur. Une manière aussi d’affirmer qu’elle n’est pas là pour suivre les règles. Non, la trompettiste britannique préfère dynamiter les frontières en douceur sur les traces du Blue Camel de Rabih Abou-Khalil et Kenny Wheeler, l’album qui a changé sa vie - ex-æquo avec sa participation au King of Limbs de Radiohead. Le jazz à la sauce Yazz Ahmed n’a rien de traditionnel, de figé ou de cliché. Il se fait tour à tour psychédélique, oriental, atmosphérique, cosmopolite, hypnotique ou électronique. Mouvants comme du sable, ses morceaux sonneraient comme du Jaga Jazzist… s’ils avaient vu le jour au Moyen-Orient. Une musique qui se danse autant avec les pieds qu’avec les neurones.