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Janelle Monáe
La chanteuse de Kansas City s’est construit un personnage ultra-sophistiqué, entre androïde arty et sex symbol émancipé, et s’affirme comme l’une des héritières directes du regretté Prince.
Il suffit d’écouter « Make Me Feel », le tube de son dernier album, Dirty Computer, sorti en avril, pour retrouver la patte de Prince, dont on dit qu’il aurait posé la ligne de basse qui donne son groove à la chanson. Riffs de guitare ciselés, atmosphère pourpre et funky jusque dans le clip, Janelle Monáe renoue avec un univers visuel et sonore qui découle directement du Kid de Minneapolis qu’elle revendique comme son mentor. La chanteuse a gagné, à grand renfort de clips ultra-esthétisés, de références lourdes de sens, d’albums-concepts parfois obtus et de revendications féministes appuyées sa place dans le paysage musical américain. Reflets de cet univers protéiforme, les concerts de la diva prennent des allures de shows futuristes qu’elle habite avec un sacré tempérament.
Il suffit d’écouter « Make Me Feel », le tube de son dernier album, Dirty Computer, sorti en avril, pour retrouver la patte de Prince, dont on dit qu’il aurait posé la ligne de basse qui donne son groove à la chanson. Riffs de guitare ciselés, atmosphère pourpre et funky jusque dans le clip, Janelle Monáe renoue avec un univers visuel et sonore qui découle directement du Kid de Minneapolis qu’elle revendique comme son mentor. La chanteuse a gagné, à grand renfort de clips ultra-esthétisés, de références lourdes de sens, d’albums-concepts parfois obtus et de revendications féministes appuyées sa place dans le paysage musical américain. Reflets de cet univers protéiforme, les concerts de la diva prennent des allures de shows futuristes qu’elle habite avec un sacré tempérament.