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Fatoumata Diawara & Hindi Zahra "Olympic Café Tour"
1re partie : Christine Salem
1/ Christine Salem
Voix puissante du maloya, ce style musical majeur de sa Réunion natale, Christine Salem souligne avec une vigueur saisissante les racines malgaches ou comoriennes de sa culture. Un univers qu’elle aime aussi embarquer vers des ailleurs, qu’ils soient blues, folk ou même rock, et pour lequel elle sera épaulée à la guitare par Seb Martel (qui a réalisé son superbe album de 2016 Larg pa lo kor) et par les percussions de ses deux fidèles complices, David Abrousse et Harry Perigone.
2/ Fatoumata Diawara & Hindi Zahra Olympic Café Tour
Les rythmes des continents africain, européen et américain se sont toujours croisés et décroisés chez cette experte des métissages musicaux qu’est Hindi Zahra. Elle frotte aujourd’hui son art à celui de Fatoumata Diawara. Une rencontre qui célèbre avant tout une amitié de dix ans, quand les deux femmes alors peu connues du grand public partageaient la scène de l’Olympic Café. Chacune a tracé sa route et rencontré le succès. Cette première véritable expérience artistique offre de solides ponts folk et soul tendus entre les cultures. Avec le guitariste Yacouba Kone, le bassiste Sekou Bah, le pianiste et trompettiste Alexis Anérilles et le batteur Zé Luis Nascimento, la marocaine et la malienne, plus complices que jamais, offrent surtout le visage d’une Afrique moderne prise dans un riche tourbillon artistique.
Voix puissante du maloya, ce style musical majeur de sa Réunion natale, Christine Salem souligne avec une vigueur saisissante les racines malgaches ou comoriennes de sa culture. Un univers qu’elle aime aussi embarquer vers des ailleurs, qu’ils soient blues, folk ou même rock, et pour lequel elle sera épaulée à la guitare par Seb Martel (qui a réalisé son superbe album de 2016 Larg pa lo kor) et par les percussions de ses deux fidèles complices, David Abrousse et Harry Perigone.
2/ Fatoumata Diawara & Hindi Zahra Olympic Café Tour
Les rythmes des continents africain, européen et américain se sont toujours croisés et décroisés chez cette experte des métissages musicaux qu’est Hindi Zahra. Elle frotte aujourd’hui son art à celui de Fatoumata Diawara. Une rencontre qui célèbre avant tout une amitié de dix ans, quand les deux femmes alors peu connues du grand public partageaient la scène de l’Olympic Café. Chacune a tracé sa route et rencontré le succès. Cette première véritable expérience artistique offre de solides ponts folk et soul tendus entre les cultures. Avec le guitariste Yacouba Kone, le bassiste Sekou Bah, le pianiste et trompettiste Alexis Anérilles et le batteur Zé Luis Nascimento, la marocaine et la malienne, plus complices que jamais, offrent surtout le visage d’une Afrique moderne prise dans un riche tourbillon artistique.