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Vincent Peirani & Émile Parisien "File Under Zawinul"/ Richard Bona & Mandekan Cubano
1/ Richard Bona & Mandekan Cubano
L’histoire des esclaves de langue mandekan d'Afrique de l'Ouest débarqués à Cuba est au cœur de la musique portée par Richard Bona et le groupe Mandekan Cubano. Des déracinés ayant apporté avec eux leur musique et leurs traditions que célèbrent aujourd’hui le bassiste camerounais et ses impressionnants virtuoses de La Havane. Un héritage afro-cubain mêlant musiques traditionnelles et jazz afro-cubain. Le groove peut être torride, les ballades empreintes de mélancolie, c’est surtout la subtilité de leur exécution qui saute aux oreilles. Le piano d’Osmany Paredes, les percussions des cousins Quintero, Luisito et Roberto, la batterie de Ludwig Afonso, le trombone de Rey Alejandre et la trompette de Dennis Hernandez enlacent avec précision la voix de Bona, un chant bien ancré sur son continent natal et qui fait toute l’originalité d’un projet prenant sur scène une ampleur décuplée.
2/ File Under Zawinul
Dix ans après la disparition de Joe Zawinul, la musique kaléidoscopique du leader de Weather Report reste toujours aussi influente. Une voix singulière que le maître viennois des claviers prolongera au sein du Zawinul Syndicate. À l’occasion de cet anniversaire, Émile Parisien et Vincent Peirani dévoilent File Under Zawinul, un projet hommage auquel ils associent d’anciens complices de Zawinul comme le batteur Paco Séry, le bassiste Linley Marthe et les percussionnistes Mino Cinelu et Aziz Sahmaoui. Du Brésil à la Méditerranée en passant par l’Afrique de l’Ouest et la France, le vent de folie soufflé par Parisien et l’accordéon acrobatique de Peirani accueille aussi les sculptures électriques du guitariste Manu Codjia et les embardées au Fender Rhodes de Jozef Dumoulin. Une large palette pour faire de File Under Zawinul la grande célébration d’une musique sans âge ni frontière, livrée comme une ode au métissage.
L’histoire des esclaves de langue mandekan d'Afrique de l'Ouest débarqués à Cuba est au cœur de la musique portée par Richard Bona et le groupe Mandekan Cubano. Des déracinés ayant apporté avec eux leur musique et leurs traditions que célèbrent aujourd’hui le bassiste camerounais et ses impressionnants virtuoses de La Havane. Un héritage afro-cubain mêlant musiques traditionnelles et jazz afro-cubain. Le groove peut être torride, les ballades empreintes de mélancolie, c’est surtout la subtilité de leur exécution qui saute aux oreilles. Le piano d’Osmany Paredes, les percussions des cousins Quintero, Luisito et Roberto, la batterie de Ludwig Afonso, le trombone de Rey Alejandre et la trompette de Dennis Hernandez enlacent avec précision la voix de Bona, un chant bien ancré sur son continent natal et qui fait toute l’originalité d’un projet prenant sur scène une ampleur décuplée.
2/ File Under Zawinul
Dix ans après la disparition de Joe Zawinul, la musique kaléidoscopique du leader de Weather Report reste toujours aussi influente. Une voix singulière que le maître viennois des claviers prolongera au sein du Zawinul Syndicate. À l’occasion de cet anniversaire, Émile Parisien et Vincent Peirani dévoilent File Under Zawinul, un projet hommage auquel ils associent d’anciens complices de Zawinul comme le batteur Paco Séry, le bassiste Linley Marthe et les percussionnistes Mino Cinelu et Aziz Sahmaoui. Du Brésil à la Méditerranée en passant par l’Afrique de l’Ouest et la France, le vent de folie soufflé par Parisien et l’accordéon acrobatique de Peirani accueille aussi les sculptures électriques du guitariste Manu Codjia et les embardées au Fender Rhodes de Jozef Dumoulin. Une large palette pour faire de File Under Zawinul la grande célébration d’une musique sans âge ni frontière, livrée comme une ode au métissage.