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Pharoah Sanders, Zakir Hussain & Joachim Kühn / Jeff Mills & Émile Parisien jouent Coltrane
1/ Jeff Mills & Émile Parisien jouent Coltrane
Mills, Parisien, Coltrane : la réunion improbable et folle de trois noms. Sans Jeff Mills, la techno n’aurait pas eu la même saveur. Avec Carl Craig, Derrick May, Juan Atkins et Kevin Saunderson, ce DJ virtuose et producteur passionné de science-fiction fut l’un des pionniers du genre à Détroit durant les années 1980. À ses côtés, de vingt ans son cadet, Émile Parisien souffle un vrai vent de fraîcheur sur la scène jazz contemporaine. Ensemble, les deux hommes – l’un derrière ses machines, l’autre, saxophones aux lèvres – célèbrent la musique d’un des plus fascinants créateurs du XXe siècle, disparu il y a tout juste 50 ans : John Coltrane. Un improvisateur dont l’héritage dépasse évidemment les frontières du jazz comme le prouve ce corps à corps atypique entre ce ponte de la techno et ce souffleur inspiré.
Sur une idée originale de Sourdoreille Production, la Compagnie des Indes et Culturebox.
2/ Pharoah Sanders, Zakir Hussain & Joachim Kühn
Depuis les années 1960, de nombreux jazzmen sont tombés sous le charme de la musique indienne. Et cette rencontre entre Pharoah Sanders , Joachim Kühn et Zakir Hussain en est une pr euve supplémentaire… Très tôt, le saxophoniste américain, ancien complice de John Coltrane, a accueilli dans son univers des influences venues de musiques traditionnelles ou classiques du reste du monde. Avec le groupe Shakti et le guitariste John McLaughlin, le maître des tablas fut pour sa part un pionnier de l’union entre un certain jazz fusion et cette musique indienne. Le pianiste de Leipzig a, quant à lui, toujours aimé embarquer son jeu hors les murs. Leur trio d’un jour sera la célébration de ces échanges abolissant les frontières. Trois noms, trois continents, trois écoles, mais surtout une fascination commune pour la liberté, qu’elle soit au cœur de séquences de méditation ou de phases de transe.
Mills, Parisien, Coltrane : la réunion improbable et folle de trois noms. Sans Jeff Mills, la techno n’aurait pas eu la même saveur. Avec Carl Craig, Derrick May, Juan Atkins et Kevin Saunderson, ce DJ virtuose et producteur passionné de science-fiction fut l’un des pionniers du genre à Détroit durant les années 1980. À ses côtés, de vingt ans son cadet, Émile Parisien souffle un vrai vent de fraîcheur sur la scène jazz contemporaine. Ensemble, les deux hommes – l’un derrière ses machines, l’autre, saxophones aux lèvres – célèbrent la musique d’un des plus fascinants créateurs du XXe siècle, disparu il y a tout juste 50 ans : John Coltrane. Un improvisateur dont l’héritage dépasse évidemment les frontières du jazz comme le prouve ce corps à corps atypique entre ce ponte de la techno et ce souffleur inspiré.
Sur une idée originale de Sourdoreille Production, la Compagnie des Indes et Culturebox.
2/ Pharoah Sanders, Zakir Hussain & Joachim Kühn
Depuis les années 1960, de nombreux jazzmen sont tombés sous le charme de la musique indienne. Et cette rencontre entre Pharoah Sanders , Joachim Kühn et Zakir Hussain en est une pr euve supplémentaire… Très tôt, le saxophoniste américain, ancien complice de John Coltrane, a accueilli dans son univers des influences venues de musiques traditionnelles ou classiques du reste du monde. Avec le groupe Shakti et le guitariste John McLaughlin, le maître des tablas fut pour sa part un pionnier de l’union entre un certain jazz fusion et cette musique indienne. Le pianiste de Leipzig a, quant à lui, toujours aimé embarquer son jeu hors les murs. Leur trio d’un jour sera la célébration de ces échanges abolissant les frontières. Trois noms, trois continents, trois écoles, mais surtout une fascination commune pour la liberté, qu’elle soit au cœur de séquences de méditation ou de phases de transe.