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Guillaume Perret & The Electric Epic
1re partie : Nik Bärtsch "Ronin"
Guillaume Perret & The Electric Epic
Véritable arme de séduction massive, Guillaume Perret renverse tout sur son passage depuis 2012 et la sortie de son premier disque sur le label de l’incorruptible John Zorn. Mais à l’inverse d’Attila, l’herbe repousse bien derrière ses passages enflammés. Elle pousse même avec plus de vigueur, de couleurs et de pouvoir psychotrope. Bien campé dans sa trentaine rugissante, le saxophoniste a trouvé avec son Electric Epic le groupe idéal pour mettre en scène et en sons ses équipées sauvages. Sa musique se nourrit de l’ensemble de la sono mondiale : du métal hurlant aux odyssées électromagnétiques en passant par d’envoûtants éthiopismes. Aussi punk qu’hypnotique, le jeune Savoyard donne un puissant (et fructueux) coup de pied dans la fourmilière du jazz.
1re partie : Nik Bärtsch Ronin
Du zen funk. C’est ainsi que le pianiste zurichois Nik Bärtsch qualifie la musique de son groupe Ronin lancé à l’aube des années 2000. L’un des plus originaux et fascinants de la scène jazz européenne. Est-ce encore du jazz d’ailleurs ? Guère étonnant que Nik Bärtsch vogue sous pavillon ECM, le label pas comme les autres… L’improvisation est là, le swing plus proche du groove également, mais l’atmosphère de Ronin lorgne aussi vers les visions minimalistes et répétitives des compositeurs américains tels que Steve Reich ou Philip Glass. L’alliage singulier orchestré par Nik Bärtsch et ses complices ressemble surtout à un étonnant rêve éveillé guidé par une rythmique majeure et un sens mélodique suprême.
Placement libre debout.
Plein tarif : 22 € / Tarif réduit : 20 € / Tarif jeunes : 18 € / Formule festival : 18 €
Véritable arme de séduction massive, Guillaume Perret renverse tout sur son passage depuis 2012 et la sortie de son premier disque sur le label de l’incorruptible John Zorn. Mais à l’inverse d’Attila, l’herbe repousse bien derrière ses passages enflammés. Elle pousse même avec plus de vigueur, de couleurs et de pouvoir psychotrope. Bien campé dans sa trentaine rugissante, le saxophoniste a trouvé avec son Electric Epic le groupe idéal pour mettre en scène et en sons ses équipées sauvages. Sa musique se nourrit de l’ensemble de la sono mondiale : du métal hurlant aux odyssées électromagnétiques en passant par d’envoûtants éthiopismes. Aussi punk qu’hypnotique, le jeune Savoyard donne un puissant (et fructueux) coup de pied dans la fourmilière du jazz.
1re partie : Nik Bärtsch Ronin
Du zen funk. C’est ainsi que le pianiste zurichois Nik Bärtsch qualifie la musique de son groupe Ronin lancé à l’aube des années 2000. L’un des plus originaux et fascinants de la scène jazz européenne. Est-ce encore du jazz d’ailleurs ? Guère étonnant que Nik Bärtsch vogue sous pavillon ECM, le label pas comme les autres… L’improvisation est là, le swing plus proche du groove également, mais l’atmosphère de Ronin lorgne aussi vers les visions minimalistes et répétitives des compositeurs américains tels que Steve Reich ou Philip Glass. L’alliage singulier orchestré par Nik Bärtsch et ses complices ressemble surtout à un étonnant rêve éveillé guidé par une rythmique majeure et un sens mélodique suprême.
Placement libre debout.
Plein tarif : 22 € / Tarif réduit : 20 € / Tarif jeunes : 18 € / Formule festival : 18 €