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Bill Frisell joue John Lennon
1re partie : Colin Stetson solo
Bill Frisell joue John Lennon
Après avoir été à la pointe de l’avant-garde guitaristique, Bill Frisell s’est embarqué ces dernières années dans de passionnantes relectures des musiques « classiques » américaines, country en tête. D’une certaine manière, le répertoire de John Lennon est devenu, au fil du temps, une musique quasi classique. Un songbook pop d’exception que Frisell revisite ici avec génie et originalité, aidé notamment par la pedal steel et la mandoline impressionnistes de son vieux complice Greg Leisz. L’Américain est un habitué de ses reprises « populaires », lui qui rectifia par le passé des œuvres de Dylan, Madonna et quelques autres. La force mélodique des compositions de l’ancien Beatle est un terreau idéal pour laisser le guitariste américain, toujours en quête d’innovation stylistique, tisser sa toile harmonique et son quartet, déambuler dans de minutieuses
improvisations dont il a le secret.
1re partie
Colin Stetson solo
Un souffle fort, un souffle fou. Colin Stetson n’a pas seulement choisi le trop rare saxophone basse, l’Américain installé au Canada alterne selon l’humeur entre scène jazz et rock. Dans les univers d’Arcade Fire ou Bon Iver, il a apporté son long râle cuivré. Une couleur sonore bien à lui que se sont offerte Tom Waits, TV On The Radio, Feist, LCD Soundsystem et bien d’autres. Pour sa propre musique, il conserve la puissance hypnotique, le dépassement des normes et une folie
créatrice totalement indomptable.
Après avoir été à la pointe de l’avant-garde guitaristique, Bill Frisell s’est embarqué ces dernières années dans de passionnantes relectures des musiques « classiques » américaines, country en tête. D’une certaine manière, le répertoire de John Lennon est devenu, au fil du temps, une musique quasi classique. Un songbook pop d’exception que Frisell revisite ici avec génie et originalité, aidé notamment par la pedal steel et la mandoline impressionnistes de son vieux complice Greg Leisz. L’Américain est un habitué de ses reprises « populaires », lui qui rectifia par le passé des œuvres de Dylan, Madonna et quelques autres. La force mélodique des compositions de l’ancien Beatle est un terreau idéal pour laisser le guitariste américain, toujours en quête d’innovation stylistique, tisser sa toile harmonique et son quartet, déambuler dans de minutieuses
improvisations dont il a le secret.
1re partie
Colin Stetson solo
Un souffle fort, un souffle fou. Colin Stetson n’a pas seulement choisi le trop rare saxophone basse, l’Américain installé au Canada alterne selon l’humeur entre scène jazz et rock. Dans les univers d’Arcade Fire ou Bon Iver, il a apporté son long râle cuivré. Une couleur sonore bien à lui que se sont offerte Tom Waits, TV On The Radio, Feist, LCD Soundsystem et bien d’autres. Pour sa propre musique, il conserve la puissance hypnotique, le dépassement des normes et une folie
créatrice totalement indomptable.