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Gett Off : Meshell Ndegeocello joue Prince
1re partie : Sidony Box
Première partie : Sidony Box
Le sax pour le souffle (Elie Dalibert), la guitare pour tracer des routes (Manuel Adnot), la batterie pour placer les balises (Arthur Narcy), ce jeune et furibard power trio nantais d’une puissance juvénile ne s’énerve pas gratuitement. Car si son jazz uppercut rafle la mise, c’est toujours pour porter à bout de bras une véritable écriture, léchée, puisant même parfois son inspiration hors des frontières du genre (Radiohead, Sigur Rós ou même Deftones) pour s’adonner au final aux joies d’une improvisation en fusion.
Gett Off : Meshell Ndegeocello joue Prince
Virtuose authentique de la basse électrique, esthète d’un chant soul à souhait et plume aiguisée à la poésie engagée, Meshell Ndegeocello est l’alchimie parfaite entre jazz, soul, funk et hip-hop. Comme une version féminine de Prince ? Possible… Surtout lorsque cette Meshell sculpte à sa façon, la matière groove du Kid de Minneapolis. Une relecture très personnelle, follement osée sur certains titres, plus respectueuse sur d’autres, fascinante au final. Un projet live ressuscitant Sign "O" The Times, Little Red Corvette, Pop Life, Lady Cab Driver, Dirty Mind ou bien encore l’hymne Purple Rain et qui n’empêche jamais la musicienne américaine de rester comme à son habitude indomptée et libre. Logique, Ndegeocello signifiant libre comme un oiseau en swahili.
Le sax pour le souffle (Elie Dalibert), la guitare pour tracer des routes (Manuel Adnot), la batterie pour placer les balises (Arthur Narcy), ce jeune et furibard power trio nantais d’une puissance juvénile ne s’énerve pas gratuitement. Car si son jazz uppercut rafle la mise, c’est toujours pour porter à bout de bras une véritable écriture, léchée, puisant même parfois son inspiration hors des frontières du genre (Radiohead, Sigur Rós ou même Deftones) pour s’adonner au final aux joies d’une improvisation en fusion.
Gett Off : Meshell Ndegeocello joue Prince
Virtuose authentique de la basse électrique, esthète d’un chant soul à souhait et plume aiguisée à la poésie engagée, Meshell Ndegeocello est l’alchimie parfaite entre jazz, soul, funk et hip-hop. Comme une version féminine de Prince ? Possible… Surtout lorsque cette Meshell sculpte à sa façon, la matière groove du Kid de Minneapolis. Une relecture très personnelle, follement osée sur certains titres, plus respectueuse sur d’autres, fascinante au final. Un projet live ressuscitant Sign "O" The Times, Little Red Corvette, Pop Life, Lady Cab Driver, Dirty Mind ou bien encore l’hymne Purple Rain et qui n’empêche jamais la musicienne américaine de rester comme à son habitude indomptée et libre. Logique, Ndegeocello signifiant libre comme un oiseau en swahili.