Cette édition met à l’honneur l’Amérique de la great black music, des grands noms à la nouvelle génération : De La Soul, Lee Fields, Meshell Ndegeocello, Lakecia Benjamin, Theo Croker, José James, Julius Rodriguez, Delvon Lamarr, Michael League… Celle du blues et de ses racines, du Mali au Mississippi, est également explorée lors d’une soirée en deux parties par Jean-Jacques Milteau, Vincent Segal et Harrison Kennedy, puis Ballaké Sissoko, Vincent Segal, Vincent Peirani et Émile Parisien.

L’Afrique s’invite avec les Nana Benz du Togo, Oumou Sangaré, l’afrobeat mêlant le jazz et le rap de Balimaya Project, une création de Théo Ceccaldi conviant notamment Sofiane Saidi et La Chica, le jazz métissé du groupe culte Sixun ou l’icône éthio-jazz Mulatu Astatke. Les Cubains Harold López-Nussa et Gonzalo Rubalcaba (avec son acolyte français Pierrick Pédron) seront présents, de même que la bouillonnante scène britannique – GoGo Penguin, Ezra Collective, Tom Skinner – et ceux qu’elle inspire – Émile Londonien, Svaneborg Kardyb.
Last but not least, Henri Texier livrera en exclusivité le contenu d’un album fraîchement enregistré, tandis que Yessaï Karapetian croisera le fer avec la batteuse Terri Lyne Carrington lors d’une soirée partagée avec Anne Paceo.

Le festival se prolongera également hors les murs avec le festival dans le festival Under the Radar ainsi que le cycle Jazz à la Villette for Kids.

Jazz is not dead!