Kamaal Williams / Knower [full band]

dimanche 1er septembre 19h00

Le Périphérique

Tarifs : 30€
Placement libre debout
Handicap moteur Handicap visuel Handicap auditif Personnes à mobilité réduite
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Knower, qui poursuit son irrésistible ascension vers la galaxie d’un jazz futuriste aux arrangements minutieux et virtuoses, ouvrira le bal avant de laisser place à l’électro-jazz plus apaisée du british Kamaal Williams.

1/ Knower [full band]

Comme en témoigne KNOWER FOREVER, dernier album du duo californien publié en 2023, la recette musicale du succès reste inchangée : orchestrations XXL, rythmiques à la Stevie Wonder, clavinets funky, synthés old-schools, batteries survitaminées et lignes vocales futuristes. Le tout avec un esprit loufoque et un art de la communication ultra peaufiné qui fait un tabac sur les réseaux grâce à des vidéos bricolées, filmées dans une maison aux airs d’une coloc’ d’étudiants. Publié il y a six ans, leur titre « Overtime » cumule plus de 7,5 millions de vues sur YouTube. Quant aux vidéos les plus récentes, elles engrangent des centaines de milliers de vues au fil des semaines : impensable pour des musiciens de jazz. Bref, Louis Cole, Genevieve Atardi et leurs camarades sont de retour à Jazz à la Villette : attachez- vos ceintures.

2/ Kamaal Williams

Figure de proue de la scène britannique, le claviériste Kamaal Williams viendra nous présenter son double album Stings, paru l’an dernier, au répertoire ambiant, électro, et aux teintes nu-jazz, voire dub. Originaire de Peckham, dans la banlieue sud de Londres, celui qui a été révélé par Gilles Peterson et qui s’est fait remarquer plus encore aux côtés du batteur Yussef Dayes s’est lancé dans l’aventure orchestrale en collaborant avec l’arrangeur tout terrain Miguel Artwwod Ferguson, référence de la scène de Los Angeles dont l’écriture post-romantique est extrêmement ciné génique. On pourrait en dire autant de certaines compositions de Kamaal Williams, qui peuvent rappeler — mis au goût hip-hop du jour — l’énergie d’un cinéma anglais du début des années 1980 avec un Bob Hoskins en truand dans The Long Good Friday.

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