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Portico Quartet
1re partie : DPZ & The Holy Synths
Portico Quartet
Outre-Manche, ce jeune gang fait plus que sensation. Signé par Peter Gabriel sur son label Real World, le Portico Quartet déstabilise le jazz depuis 2007, année de la sortie de son premier album. Trois disques plus tard, la terre tremble encore. Des effluves de post-rock et quelques sonorités ethniques voire sérielles viennent enrichir le paysage musical de ces jeunes savants fous londoniens. Il y a du Radiohead dans le jazz de ce Portico Quartet, l’esprit du label ECM également, mais aussi une énergie dignement héritée d’E.S.T. ou des motifs minimalistes comme inspirés de Steve Reich. Sur scène, ces alliages improbables et éclectiques prennent même une densité folle. Un quartet qui n’a froid ni aux yeux, ni surtout aux oreilles.
1re partie
DPZ & The Holy Synths
Les étiquettes n’étant guère une fin en soi, le saxophoniste Thomas de Pourquery et le tromboniste Daniel Zimmermann ne s’amusent pas à brouiller les pistes juste pour le plaisir. Et c’est avec un grand naturel que la musique de leur quintet DPZ ne se limite guère à parcourir la jazzosphère. Décalages, dérapages, charcutages, caresses ou uppercuts, tout est possible. Cette rencontre avec les quatre synthés de The Holy Synths ne fera qu’amplifier cette envie perpétuelle de textures autres et de mondes parallèles. Rock, jazz, electro, free, tout est effectivement possible pour ces ambassadeurs de la marge magique.
Outre-Manche, ce jeune gang fait plus que sensation. Signé par Peter Gabriel sur son label Real World, le Portico Quartet déstabilise le jazz depuis 2007, année de la sortie de son premier album. Trois disques plus tard, la terre tremble encore. Des effluves de post-rock et quelques sonorités ethniques voire sérielles viennent enrichir le paysage musical de ces jeunes savants fous londoniens. Il y a du Radiohead dans le jazz de ce Portico Quartet, l’esprit du label ECM également, mais aussi une énergie dignement héritée d’E.S.T. ou des motifs minimalistes comme inspirés de Steve Reich. Sur scène, ces alliages improbables et éclectiques prennent même une densité folle. Un quartet qui n’a froid ni aux yeux, ni surtout aux oreilles.
1re partie
DPZ & The Holy Synths
Les étiquettes n’étant guère une fin en soi, le saxophoniste Thomas de Pourquery et le tromboniste Daniel Zimmermann ne s’amusent pas à brouiller les pistes juste pour le plaisir. Et c’est avec un grand naturel que la musique de leur quintet DPZ ne se limite guère à parcourir la jazzosphère. Décalages, dérapages, charcutages, caresses ou uppercuts, tout est possible. Cette rencontre avec les quatre synthés de The Holy Synths ne fera qu’amplifier cette envie perpétuelle de textures autres et de mondes parallèles. Rock, jazz, electro, free, tout est effectivement possible pour ces ambassadeurs de la marge magique.